Réclamer haut et fort un droit à exister

“Comment fraterniser dans un pays où les héros des uns sont les bourreaux des autres ?” Que signifie être ​“blanc” ou ​“noir” ? Qui a décidé que ​“l’Afrique” se nommerait ainsi ? Ce qu’il faut dire est une prise de parole directe pour aller au fond des choses : la relation entre l’Occident et l’Afrique, la relation à sa couleur de peau, la relation à l’autre. Entre théâtre et concert, entre intime et politique, ce spectacle percutant est un chant, une célébration de la relation humaine loin de toute forme de domination.

Quel texte que cet écrit pour la parole Léonora Miano ! La langue de l’autrice franco-camerounaise est ici transposé sur scène par Catherine Vrignaud Cohen, dans un geste simple mais non moins efficace.
Kilian Orain — Telerama TTT| Lire l’article

Une voix poétique et politique qui, regardant vers demain, trace une route de lucidité et de fraternité, pour que cesse l’ensauvagement du monde.
Manuel Piolat Soleymat — La Terrasse | Lire l’article

C’est à la comédienne d’origine guadeloupéenne, Karine Pedurand, que revient de porter la parole puissante de Léonora Miano, l’Estonienne Triinu Tammsalu l’accompagnera à la guitare, mêlant accords et bruitages. Dans ce dialogue complice, les mots fusent, incisifs, tranchants, implacables. 
Laurence Péan — La Croix | Lire l’article

↘ Production : Compagnie Empreinte(s)
↘ Coproduction : Ville de Saint-Quentin
↘ Avec le soutien de : Région Hauts-de-France, Conseil départemental de l’Aisne, Quai des Arts (Argentan), Théâtre des Sources (Fontenay-Aux-Roses) et la Spedidam