Béatrice, ex-rockeuse reconvertie en auxiliaire de puériculture, ouvre aux spectateurs les chambres de la maternité où elle travaille. Entre joies, tragédies et manque de moyens, elle nous raconte ses visites aux femmes. Les bébés et les pères sont là aussi, tout près. Chambre 2, le 1er roman très remarqué de Julie Bonnie (prix roman FNAC), après son adaptation au cinéma, se voit offrir ici une troisième vie dans un seul en scène cousu main d’une généreuse humanité.
“Anne Le Guernec, charnelle et à vif, incarne une ex rockeuse et danseuse nue, reconvertie en auxiliaire de puériculture dans une maternité en surchauffe. On naît à la vie dans cet hôpital public qui aujourd’hui craque dangereusement de partout. Émerveillement de la mise au monde et effroi du monde se conjuguent dans ce monologue sensuellement interprété.”
Fabienne Pascaud pour Télérama | TTT
“Ce texte aussi politique qu’intime raconte à la fois les problématiques de l’hôpital public et le grand huit émotionnel que traversent les femmes qui deviennent mères. Intense.”
Sarah Gandillot et Cathy Yerle pour Causette
“Catherine Vrignaud Cohen met en scène les fractures du système hospitalier. Le parti pris de mise en scène est dépouillé. Pour aller à l’essentiel. Une belle rencontre entre théâtre et témoignages..”
Gérald Rossi pour L’Humanité
“La comédienne fait vibrer l’espace vide autour d’elle.
Anne Le Guernec interprète cette « sonate de peau » avec intensité et émotion, s’offrant corps et âme à ce personnage sans fard, à cette femme exigeante et sincère qui témoigne pour tous ceux qui, comme elle, choisissent d’exister et pas seulement de vivre.”
Catherine Robert pour La Terasse
“Chambre 2, est magnifiquement porté sur scène par la metteuse en scène Catherine Vrignaud-Cohen et la comédienne Anne Le Guernec.
Anne Le Guernec est époustouflante dans ce seul en scène peuplé de vivants et de fantômes.
Elle enfile son bleu de chauffe, livre un combat physique âpre, offre les métamorphoses de son corps, courses éreintantes, timides envols et replis fœtaux sur une (…) minuscule oasis existentielle. Ainsi va la vie quand elle vacille.”
Patrice Trapier pour Théâtral magazine
“De la belle ouvrage. Mis en scène avec une grande sensibilité par Catherine Vrignaud Cohen, Anne Le Guernec déroule avec maestria le road movie intérieur d’un être en quête de sens.
Par la grande sensibilité de son interprétation Anne Le Guernec donne à ce personnage une aura qui ne peut que nous toucher.
La mise en scène de Catherine Vrignaud Cohen nous a totalement conquise.”
Marie-Cecile Nivière pour l’Oeil d’Olivier
“Catherine Vrignaud Cohen offre à Anne Le Guernec l’occasion de nous prouver sa virtuosité de comédienne dans un seule-en-scène émouvant et édifiant.
La pièce est belle, d’un esthétisme pur et minimaliste. Anne Le Guernec impressionne et hypnotise. Son corps est pluriel ; il est d’abord celui de la médecine, un corps qui affronte tous les risques de la grossesse et de l’accouchement. Il est celui de l’érotisme aussi dans une séquence magnifique. Il est enfin celui de la lutte vigoureuse d’une femme qui veut comprendre et mettre en train.
La pièce est un bijou théâtral.”
David Rosé Sarfati pour Toute la Culture
“Mêlant poésie, empathie, énergie et souffrance, Anne Le Guernec donne vie à ces témoignages. Elle est formidable.”
Blog culture du SNES-FSU
“La comédienne Anne Le Guernec irradie l’espace, le temps d’une performance paisible et soutenue : un spectacle traversé par les échos de toute la misère psychologique du monde; et en même temps que se diffuse l’émotion provoquée, le drame est comme transcendé par le rêve.”
Véronique Hotte pour Hotello
↘ La compagnie Empreintes est soutenue par le Conseil départemental des Yvelines.
↘ Coproduction Région Ile de France, la SPEDIDAM, Région Hauts de France, Quai des Arts (Argentan) dans le cadre des relais culturels régionaux, La ville de Saint Quentin, Eurydice — ESAT (Plaisir), le Théâtre du Cormier (Cormeilles en Parisis). Avec le soutien de CDN de Sartrouville, L’espace Culturel Robert Doisneau (Meudon), le Théâtre de la Reine Blanche (Paris), le Théâtre Jean Vilar (Suresnes)
Du 7 au 25 juillet 2021 à 16h10
► relâche le 12 et 19 juillet
Tarifs=
22€ → Plein
15€ → Réduit (carte off, détaxe pro)
12€ → Spécial (-26 ans, intermittents du spectacle, demandeurs d’emploi)
Frais de réservation=
2€ → Par internet sur la totalité de la commande en ligne
Modes de règlement : chèque, CB & espèces
Renseignements sur reservation@scenesblanches.com | 04 90 85 38 17